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12 Sep

Eglise du Cheylard à Les Farges

Publié par Sébastien Colpin  - Catégories :  #Dordogne, #Patrimoine, #Patrimoine religieux, #Les Farges, #Eglise, #Eglise du Cheylard, #Nature, #Ruines, #Christianisme, #Histoire

De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
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De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
De l’église du Cheylard, édifiée au XIème-XIIème siècle et dédiée à Saint-Barthélémy, il ne reste que des pans de murs de la nef, l’amorce du porche d’entrée, et au fond, se détachant encore des tas de pierres, les restes d’un choeur voûté en arêtes de poisson et ceux du mur extérieur rectangulaire. Mais le clocher-mur à deux ouvertures campanaires et supporté par un arc en plein cintre a mieux résisté au temps. A lui seul, il justifie une « restauration-consolidation » ! En réalité, beaucoup plus que de sauver une église romane de plus, il s’agit de garder le vestige le plus important de notre patrimoine, le seul à témoigner de la naissance de la commune au Moyen-Âge et rappeler – en négatif – que l’église perdit son statut d’église paroissiale en 1724 au profit de la nouvelle chapelle des Farges. Le déclin s’ensuivit irrémédiablement et de l’église et du village. Sauver cette église c’est préserver un environnement où histoire et paysage participent à la beauté du lieu, et surtout c’est restituer aux habitants des Farges un lieu de mémoire, le plus ancien et le plus important.
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Vidéo occulte et humoristique à l'Eglise du Cheylard par Jery, chasseur de fantômes : Regardez c'est excellent!

Eglise du Cheylard à Les Farges en Dordogne

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