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07 May

Le Château de l'Herm, un voyage au cœur du Moyen-Age

Publié par Sébastien Colpin  - Catégories :  #Patrimoine, #Histoire, #Châteaux, #Dordogne

La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.
La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse.  A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne.   La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV.   La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant"  dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ]  Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.

La seigneurie de l'Herm apparaît dans les textes au XIVe siècle, suite au démembrement de la seigneurie de Reilhac. La seigneurie justicière de l'Herm, mise en place par la famille de Calvimont à l'orée du XVe siècle, s'étendait au XVIIe siècle sur les paroisses de : Rouffignac, Plazac, Milhac et Tursac. La seigneurie foncière était beaucoup plus étendue ; aux paroisses déjà citées il faut ajouter : St Léon sur Vézère, Bars, Fanlac et Fossemagne . La plus grande partie de la seigneurie de Rouffignac était tenue par la famille de Souilhac ; cependant quelques seigneurs possédaient des droits sur cette paroisse. Ainsi les Calvimont à l'Herm et au Cheylard, les Aubusson seigneurs de Miremont dans la partie sud et les Abzac seigneurs de la Douze dans la partie ouest de la paroisse. A la fin du XVe siècle, la famille de Calvimont fait son apparition suite à son achat de la terre et seigneurie de l'Herm. C'est une famille issue du notariat ; on retrouve ainsi Jean II deuxième du nom conseiller au parlement de Bordeaux et surtout Jean III, dit "le Second Président", son fils ambassadeur du roi François I er après de Charles Quint, roi d'Espagne. La famille de Calvimont se maintient à l'Herm jusqu'en 1605, date de l'assassinat de la dernière héritière Marguerite de Calvimont, fille de Jean IV. La mort de cette jeune femme à donné lieu à une légende : la légende la main de cire. Le XVIIe siècle est marqué par le règne de Marie de Hautefort, veuve de François d'Aubusson. En 1642, la seigneurie de l'Herm est mise en vente suite à de nombreux assassinats [ La tragédie de l'Herm ] beaucoup de familles annexes prétendaient détenir un droit sur ces terres. Il y a une adjudication en 1679 et la vente est réalisée en 1682. C'est la nièce de Marie de Hautefort (dénommée elle aussi Marie de Hautefort, et connue également sous le délicat surnom de "l'Aurore") qui l'acquiert, mais elle n'habite pas le château. Celui-ci est peu à peu délaissé et abandonné par les Hautefort eux-même qui érigent la ferme principale de la seigneurie en siège de juridiction. Celle-ci fonctionne jusqu'en 1830, date à laquelle les Hautefort vendent le domaine, qui est alors démembré en plusieurs lots.En 1899, Eugène Le Roy, romancier périgourdin s'inspire de cette ruine romantique pour y placer le décor de son roman "Jacquou le Croquant" dont les réalisateurs Stellio Lorenzi fera un feuilleton diffusé en 1967 et Laurent Boutonnat un film sorti dans les salles en janvier 2007. [ Jacquou le croquant ] Le château est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1927, il a subi peu de modifications majeures si ce n'est une protection indispensable sur la tour d'escalier; il est ouvert au public régulièrement depuis 1988. Depuis l'été 2000, son sauvetage est entrepris; il s'inscrit dans un vaste projet comprenant une recherche historique (sur les lignages successifs ainsi que sur les terroirs), archéologique et une mise hors d'eau ainsi qu'un aménagement à la visite.

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