Photographe amateur, passionné par la photographie, la vidéo, le patrimoine, l'histoire et les sites naturels. Photos de Corrèze, de Dordogne, de Haute-Vienne, du Cantal, du Puy de Dôme, du Lot, du Lot et Garonne, de l'Aveyron, de la Gironde..découvrez les plus beaux sites, châteaux, musées et espaces naturels de nos régions. Visite patrimoine, tourisme et gastronomie dans toutes nos belles régions de France.

28 Feb

Domme en Dordogne, un des plus beaux village de France

Publié par Sébastien Colpin  - Catégories :  #Patrimoine, #Portraits, #Histoire, #restaurant sublime, #Dordogne

La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.
La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie.  On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique..  Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français.  De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592.  Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637.  Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.

La bastide fut fondée en 1281 par Philippe le Hardi sur un plateau à l'ouest duquel existait déjà un château, alors dans les mains de la famille de Gourdon. Domme possède deux places où se pratiquait le commerce : la place de la Halle et la place de la Rode. La cité commerçante organisait des foires et obtint le privilège de battre sa propre monnaie. On a considéré longtemps qu'en 1307 la cité devint, lors de l'arrestation des Templiers, un lieu où soixante-dix d'entre eux furent emprisonnés. Ils venaient des diocèses de Périgueux, Cahors, Rodez, Bourges, Limoges, Clermont, Angoulême et Poitiers; et qu'ils laissèrent comme témoignage de leur passage la centaine de graffitis que l'on retrouve à la porte des Tours. On a dit à ce sujet et sans preuve que les Templiers usaient d'un code géométrique : l'octogone pour le Graal, le triangle surmonté d'une croix pour le Golgotha, le carré pour le Temple. Les cercles, eux, auraient symbolisé l'enfermement. On a dit aussi que des gravures à la symbolique assez proche furent retrouvées à Loches, Gisors et Chinon, ce qui est purement imaginaire. Leur authenticité pour ces trois sites est contestée par les spécialistes. En outre l'identification des graffiti de Domme et leur prétendue justification historique furent basés sur de faux relevés et des méthodes d'interprétation des images et des documents très fantaisistes sans aucun fondement scientifique.. Ultérieurement, durant la guerre de Cent Ans, la bastide devient un lieu convoité par les Anglais. La première prise de la cité par ces derniers date de 1347. À plusieurs reprises, elle change successivement de mains entre les deux camps rivaux jusqu'en 1437, date de son retour dans le domaine français. De nouvelles tribulations attendent ce site durant les guerres de Religion. La bastide est prise en 1588 par Geoffroy de Vivans, capitaine protestant de la garnison de Castelnaud qui escalade, de nuit avec ses hommes, la falaise pour ouvrir les portes au corps principal de ses troupes. Toutefois, le succès des troupes catholiques fut tel qu'il dut céder la bastide dans laquelle il s'était retranché en 1592. Le calme à peine revenu, la bastide dut faire face à une jacquerie des croquants en 1594 puis ultérieurement en 1637. Domme connaîtra la prospérité au XVIIe siècle puis périclitera, ce qui a facilité sa conservation jusqu'à nos jours.

Commenter cet article

Archives

À propos

Photographe amateur, passionné par la photographie, la vidéo, le patrimoine, l'histoire et les sites naturels. Photos de Corrèze, de Dordogne, de Haute-Vienne, du Cantal, du Puy de Dôme, du Lot, du Lot et Garonne, de l'Aveyron, de la Gironde..découvrez les plus beaux sites, châteaux, musées et espaces naturels de nos régions. Visite patrimoine, tourisme et gastronomie dans toutes nos belles régions de France.