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17 Nov

Abbaye de Saint-Avit Sénieur en Dordogne

Publié par Sébastien Colpin  - Catégories :  #Patrimoine, #Patrimoine religieux, #Abbaye, #Dordogne, #Histoire

L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.
L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France.  Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye.  Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite.  La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants :  La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle.  En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577.  L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés.  En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques.  Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public.  De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.

L’église de Saint-Avit-Sénieur est un édifice religieux situé sur la commune de Saint-Avit-Sénieur, dans le département français de la Dordogne. Elle est classée sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998, au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en France. Les dimensions imposantes de cet édifice roman (55 m de long) sont dues au pèlerinage et à la notoriété de saint Avit, dont les reliques (aujourd'hui disparues) ont été transférées dans l'édifice au début du XIIeme siècle. Entre 1060 et 1065, un petit groupe de moines vit près du tombeau de saint Avit qui se trouvait dans la vallée à l'ouest de l'abbaye. Un récit hagiographique rédigé par une personne liée à l'abbaye Saint-Martial de Limoges au XIeme siècle raconte qu'Avit serait né à Lanquais vers 487, aurait servi Alaric II et aurait combattu à la bataille de Vouillé avant de mener une vie d'ermite dans la vallée proche de Saint-Avit-Sénieur. Il serait mort en 570 et enterré dans la chapelle Notre-Dame-du-Val qu'il aurait construite. La construction de l'abbaye est entreprise au début du XII e siècle, comme en attestent 3 inscriptions lapidaires situés dans l'avant-chœur de l'église, qui relatent les événements suivants : La translation du corps de saint Avit dans l'abbatiale est effectuée en 1118. Guillaume II d'Auberoche, évêque de Périgueux, consacre un autel en l'honneur de saint Jean-Baptiste et saint-Jean l'Evangéliste. En 1142, Geoffroi du Louroux, évêque de Bordeaux, consacre un autel en l'honneur de Saint Jacques. L'église est sécularisée en 1292. Une traduction orale rapporte que les Albigeois auraient incendiés la prieurale au XIII e siècle. En 1525, la partie sud-ouest de la troisième travée de l'église s'écroule. Le mur est réhabilité. Des bandes protestantes détruisent une partie du clocher nord et saccagent l'abbaye en 1577. L'abbaye est rattachée au chapitre de la cathédrale de Sarlat en 1685. Le chœur qui avait été ruiné est fermé par un chevet plat. Le cloître et les bâtiments conventuels sont effondrés et arasés. En 1883 est entreprise la restauration des parties hautes de l'église sous la direction d'Henri Rapine, architecte diocésain et des Monuments Historiques. Entre 1968 et 1971, suite à des chutes de pierres et l'apparition de fissures, les voûtes sont étayées sous la direction de Yves-Marie Froidevaux. L'église est fermée au public. De 1980 à 1992, des travaux de restauration et de confortement ponctuels de la troisième travée de l'église sont réalisés sous la direction de B. Fonquernie. En 1997, restauration générale de l'église sous la direction de Ph. Oudin. La troisième travée de l'église est ouverte au public en septembre 1998, puis en 2000, toute l'église est rouverte. En 2001, de nouveaux vitraux sont posés.

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