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21 Sep

Journée du patrimoine en Corrèze, le village de Collonges la rouge

Publié par Sébastien Colpin  - Catégories :  #Patrimoine, #Histoire, #Corrèze

Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).
Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie.  Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres.  Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942.  En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).

Les moines de l’abbaye de Charroux en Poitou fondent un prieuré au VIIIe siècle suite à une donation du comte Roger de Limoges. Le prieuré est intégré dans la Vicomté de Turenne en 844 et attire, sous sa protection, une population de paysans, d’artisans et de commerçants. Autour de ses bâtiments protégés par une enceinte, la communauté prospère. L’accueil des pèlerins en route pour Compostelle via Rocamadour est une source durable de profits. En 1308, le vicomte de Turenne accorde à la ville une charte de franchise. Le droit de juridiction haute, moyenne et basse lui est accordé. Il préside à la naissance de lignées de procureurs, avocats, notaires. L’enclos ne suffit plus à contenir sa population. Naissent alors les barris : le faubourg de la Veyrie à l’est, celui de Hautefort, du Faure, la Guitardie. Collonges traverse les guerres de religion, de manière relativement pacifique, puisque les deux nefs de l'église sont utilisées alternativement pour le culte catholique et le culte protestant. Après les guerres de religion, la reconstruction du patrimoine de la petite noblesse coïncide avec la montée en puissance de la vicomté. C’est à cette époque que s’élèvent les nobles logis des officiers de la vicomté. Après la vente de la vicomté à la Couronne de France en 1738 — qui entraîne la fin de ses privilèges fiscaux — puis la Révolution, qui détruit les bâtiments du prieuré, le bourg ne retrouve qu’une prospérité éphémère au début du xixe siècle. Collonges perd peu à peu ses habitants, le village se transformant en carrière de pierres. Au début du xxe siècle, quelques Collongeois crèent l’association des Amis de Collonges permettant le classement du site tout entier en 1942. En 1969, Collonges devient Collonges-la-Rouge. En 2014 le centre du Village commence une rénovation en trois tranches. La première, devant la Mairie n'est pas entièrement terminée (pavage, éclairage, eaux pluviales).

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